Biocompatibilité in vitro et in vivo de l'acier inoxydable en fonction du traitement de surface: rugosité et revêtement avec hydroxyapatite.
Auteurs : Bataille L1, Judas D, Rocher P, Laffargue P, Lecomte-Houcke M, Iost A, Lefevre A, Hildebrand HFLes tests in vitro de survie cellulaire placent l'acier 316L et l'hydroxyapatite (HA) dans une position très favorable. Quant aux tests de prolifération cellulaire, ils montrent l'effet néfaste de la rugosité sur les cellules. Le sablage de l'alliage a diminué considérablement le nombre cellulaire par rapport au même substrat poli. L'HA présente les meilleurs taux de prolifération, malgré un effet de surface certain par rapport au témoin. Pour ce qui est de la biocompatibilité in vivo, les implantations intramusculaires révèlent des réactions inflammatoires localisées plus importantes pour l'acier 316L recouvert d'HA que pour ce même alliage non revêtu.