Une évaluation globale indispensable: La douleur du patient cancéreux doit être évaluée systématiquement, de manière continue, avec différents points déappréciation complémentaires: évalutation des causes, des mécanismes, de l'intensité, du retentissement sur la qualité de vie, de l'impact psychologique. Plusieurs douleurs cancéreuses: La douleur peut être due à la tumeur elle-même, liée aux thérapeutiques ou intercurrente, sans liens de causalité avec le cancer. Elle peut être provoquée par un excès de stimulations nociceptives et alors sensible aux antalgiques, notamment morphiniques ou bien d'origine neurogène, causée par une lésioon des voies nerveuses périphériques ou centrales et relevant de traitements entidépresseurs et antiépileptiques. Evaluation de l'intensité: Elle est destinée à une meilleure gestion du traitement antalgique. L'interrogatoire a une place essentielle mais gagne à s'aider d'échelles globales (échelles verbale simple, numérique ou visuelle analogique) pour sa quantification. Evaluation psychologique et familiale: Elle a pour but d'établir la participation de facteurs psychologiques (anxiodépressifs, réactions de l'entourage familial...) et de permettre à l'équipe soignante une prise en charge thérapeutique globale de la douleur du cancéreux et de sa qualité de vie. Au terme de cette évaluation: Une stratégie thérapeutique pourra être mieux définie et adaptée. La réapparition d'une douleur doit entraîner une réévaluation complète car le mécanisme peut être différent.