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Aménorrhées hypothalamiques fonctionnelles. II. Clinique.

Auteurs : Gandar R1, Collin D
Affiliations : 1Département de Gynécologie-Obstétrique, Centre Hospitalier Général, Haguenau.
Date 1993, Vol 22, Num 2, pp 133-40Revue : Journal de gynécologie, obstétrique et biologie de la reproductionType de publication : article de périodique; revue de la littérature;
Résumé

Les facteurs étiologiques essentiels des aménorrhées hypothalamiques fonctionnelles (AHF), le stress psychique, leles pertes de poids, provoquent un ralentissement de la fréquence des pulsations sécrétoires de LH et un hypercortisolisme, critères diagnostiQues des AHF. Le ralentissement de la fréquence des pulsations secrétoires de LH ne peut être mis en évidence en pratique clinique. Les symptômes classiques des AHF, l'hypogonadotropinémie et l'hypogonadisme sont peu spécifiques. Le diagnostic des AHF est, de ce fait, classiquement, un diagnostic par élimination. Des études physiopathologiques récentes ont permis d'individualiser de nouveaux symptômes, l'hypercortisolisme, l'hypoprolactinémie, une augmentation considérable du taux sérique nocturne de mélatonine, qui pourraient faciliter le diagnostic des AHF.

Mot-clés auteurs
Aménorrhée; Déficit; Exploration hormonale; Fonctionnelle; Glucocorticoïde; Hormone surrénalienne; Hormone épiphysaire; Hydrocortisone; Mélatonine; Perte poids; Prolactine; Stress;
 Source : PASCAL/FRANCIS INIST
 Source : MEDLINE©/Pubmed© U.S National Library of Medicine
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Gandar R, Collin D. Aménorrhées hypothalamiques fonctionnelles. II. Clinique. J Gynecol Obstet Biol Reprod (Paris). 1993;22(2):133-40.
Courriel(Nous ne répondons pas aux questions de santé personnelles).
Dernière date de mise à jour : 22/08/2017.


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