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Aménorrhées hypothalamiques fonctionnelles. I. Physiopathologie.

Auteurs : Gandar R1, Collin D
Affiliations : 1Département de Gynécologie-Obstétrique, Centre Hospitalier Général, Haguenau.
Date 1993, Vol 22, Num 2, pp 127-32Revue : Journal de gynécologie, obstétrique et biologie de la reproductionType de publication : article de périodique; revue de la littérature;
Résumé

Les Aménorrhées Hypothalamiques fonctionnelles (AHF) sont très vraisemblablement dues à un ralentissement des pulsations sécrétoires de LH, c'est-à-dire de GnRH. Ce ralentissement pourrait être la conséquence d'une hypersécrétion chronique de Corticotropin-Releasing Hormone (CRH). CRH agirait sur le générateur hypothalamique des pulsations GnRH par l'intermédiaire des opioïdes du cerveau. Les antagonistes des opioïdes rétablissent une pulsation sécrétoire LH normale dans bon nombre de cas. Le mécanisme qui intervient dans les échecs fait actuellement l'objet de recherches qui sont rapidement évoquées; la dopamine pourrait, entre autres, jouer un rôle essentiel.

Mot-clés auteurs
ACTH-RH; Aménorrhée; Facteur libération hormonale; Fonctionnelle; Gonadotrophine; Homme; Hormone adénohypophysaire; Hormone peptide; LH;
 Source : PASCAL/FRANCIS INIST
 Source : MEDLINE©/Pubmed© U.S National Library of Medicine
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Gandar R, Collin D. Aménorrhées hypothalamiques fonctionnelles. I. Physiopathologie. J Gynecol Obstet Biol Reprod (Paris). 1993;22(2):127-32.
Courriel(Nous ne répondons pas aux questions de santé personnelles).
Dernière date de mise à jour : 22/08/2017.


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