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Chimio-hyperthermie intrapéritonéale dans le traitement des carcinoses péritonéales d'origine ovarienne. Premières observations, données physiopathologiques.

Auteurs : Salle B1, Gilly FN, Carry PY, Sayag A, Brachet A, Braillon G
Affiliations : 1Service de chirurgie B, Centre Hospitalier Lyon Sud, Saint-Genis-Laval.
Date 1993, Vol 22, Num 4, pp 369-71Revue : Journal de gynécologie, obstétrique et biologie de la reproductionType de publication : article de périodique;
Résumé

Les auteurs rapportent leurs premières expériences d'hyperthermochimiothérapie intrapéritonéale avec mitomycine C ou cysplatine sous hypothermie de protection à 32°C, dans quatre carcinoses péritonéales secondaires a un cancer de l'ovaire résistant aux thérapeutiques conventionnelles. Il s'agissait de stade III et IV de IR classification FIGO. Il n'y a pas eu de complication post-opératoire. Des patientes sont toujours en vie 4 et 6 mois après la chimio-intrapéritonéale. L'hyperthermie a une action propre de destruction des cellules tumorales et potentialise les effets de la chimiothérapie.

Mot-clés auteurs
Carcinose; Chimiothérapie; Femelle; Homme; Hyperthermie provoquée; Ovaire pathologie; Ovaire; Péritoine; Traitement; Tumeur maligne;
 Source : PASCAL/FRANCIS INIST
 Source : MEDLINE©/Pubmed© U.S National Library of Medicine
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Salle B, Gilly F N, Carry P Y, Sayag A, Brachet A, Braillon G. Chimio-hyperthermie intrapéritonéale dans le traitement des carcinoses péritonéales d'origine ovarienne. Premières observations, données physiopathologiques. J Gynecol Obstet Biol Reprod (Paris). 1993;22(4):369-71.
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Dernière date de mise à jour : 22/08/2017.


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