Hybridation in situ ultrastructurale sur couples ultrafines de tissus congelés.
Auteurs : Pechoux C1, Jambou R, Morel GAffiliations : 1CNRS, URA 1454, Laboratoire d'Histologie-Embryologie, Faculté de Médecine Lyon-Sud, Oullins, France.
Date 1993 Février, Vol 41, Num 2, pp 202-7Revue : Pathologie-biologieType de publication : article de périodique; Résumé
Appliquée aux coupes ultrafines de tissus congelés, l'hybridation in situ ultrastructurale est réalisable aussi bien avec des sondes (ADN complémentaire ou oligonucléotide de synthèse) marquées par addition de nucléotides porteur d'isotopes radioactifs (35S) ou d'antigène (biotine ou digoxigénine) qui sont révélés respectivement par autoradiographie ultrastructurale ou immunocytologie. Dans l'exemple de la recherche des ARN messagers codant pour l'hormone de croissance, ceux-ci sont localisés préférentiellement dans les cytoplasmes des cellules somatotropes connues pour synthétiser ces hormones.
Mot-clés auteurs
Animal; Homme; Hybridation; Immunohistochimie; Microscopie électronique; Technique;
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Pechoux C, Jambou R, Morel G. Hybridation in situ ultrastructurale sur couples ultrafines de tissus congelés. Pathologie-biologie. 1993 Fév;41(2):202-7.