Neuroleptiques et sérotonine.
Auteurs : Hery F1, Hamon MAffiliations : 1Laboratoire de Neuroendocrinologie Expérimentale, INSERM U 297, UER de Médecine Nord, Marseille.
Date 1993 Septembre-Octobre, Vol 19, Num 5, pp 525-32Revue : L'EncéphaleType de publication : article de périodique; revue de la littérature; Résumé
Bien que l'hypothèse dopaminergique reste la plus généralement admise à propos de la schizophrénie, il n'en reste pas moins que d'autres systèmes neuronaux que les systèmes dopaminergiques sont sans doute également impliqués à la fois dans les désordres comportementaux associés à ce syndrome et dans les méchanismes d'action des antipsychotiques. A cet égard, les systèmes sérotoninergiques semblent particulièrement importants. D'ailleurs une hypothèse sérotoninergique de la schizophrénie avait été avancée à la suite des travaux de Hoffmann sur les propriétés hallucinogènes du LSD.
Mot-clés auteurs
Article synthèse; Homme; Mécanisme action; Neuroleptique; Physiopathologie; Psychose; Psychotrope; Récepteur sérotoninergique S1; Récepteur sérotoninergique S2; Récepteur sérotoninergique S3; Schizophrénie; Transmission sérotoninergique;