Vulnérabilité biologique aux troubles dépressifs.
Auteurs : Poirier-Littré MF1Affiliations : 1Service Hospitalo-Universitaire de Santé mentale et de Thérapeutique, Hôpital Sainte-Anne, Paris.
Date 1994 Décembre, Vol 20 Spec No 4, pp 629-38Revue : L'EncéphaleType de publication : article de périodique; revue de la littérature; Résumé
Pendant 20 ans, la découverte de marqueurs biologiques dans les dépressions a été l'espoir de nombreuses équipes. En liaison avec l'évolution des techniques, trois étapes ont été franchies. La première a consisté à évaluer le niveau d'activité des neurotransmetteurs connus par le dosage des concentrations de leurs précurseurs, de leurs catabolites, par les mesures des activités enzymatiques régulant leur synthèse et leur catabolisme, de leur vitesse de capture et de stockage. La deuxième époque a reposé sur la possibilité d'utiliser des substances spécifiques radioactives se liant aux membranes neuronales et aux récepteurs.
Mot-clés auteurs
Article synthèse; Etat dépressif; Homme; Marqueur biologique; Trouble humeur; Vulnérabilité;