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Quantifier la dyspnée.

Auteurs : Noseda A1, Yernault JC
Affiliations : 1Service de Médecine interne, Hôpital Brugmann, Bruxelles, Belgique.
Date 1994 Octobre 29, Vol 23, Num 33, pp 1527-32Revue : La Presse médicaleType de publication : article de périodique; revue de la littérature;
Résumé

Plusieurs méthodes ont été proposées ces dernières années pour quantifier la dyspnée chez le sujet normal ou le malade. La dyspnée peut être mesurée à l'effort de manière itérative, avec une échelle visuelle analogique ou une échelle de Borg, et être analysée en fonction de la ventilation, ce qui permet de définir un seuil de dyspnée et une pente dyspnée/ventilation. Les bronchodilatateurs en inhalation, la morphine orale, la pression positive continue (ou inspiratoire) appliquée aux voies aériennes et les programmes de revalidation sont capables de réduire la pente dyspnée/ventilation chez les malades atteints de bronchopneumopathie chronique obstructive, tandis que l'aténolol et la pneumectomie ont un effet délétère.

Mot-clés auteurs
Analyse quantitative; Dyspnée; Exercice physique; Exploration; Homme; Physiopathologie; Repos; Traitement; Vie quotidienne;
 Source : PASCAL/FRANCIS INIST
 Source : MEDLINE©/Pubmed© U.S National Library of Medicine
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Citer cet article
Noseda A, Yernault J C. Quantifier la dyspnée. La Presse médicale. 1994 Oct 29;23(33):1527-32.
Courriel(Nous ne répondons pas aux questions de santé personnelles).
Dernière date de mise à jour : 21/08/2017.


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