Ce diagnostic est dominé par les causes infectieuses, notamment tuberculose, mais la crainte de causes malignes doit être toujours présente à l'esprit et justifie l'acharnement de l'enquête étiologique. C'est dans un but de dégager une conduite pratique devant chaque adénopathie cervicale que les auteurs ont effectué ce travail qui consiste en une étude statistique des étiologies des adénopathies cervicales chroniques, dans un service de médecine interne.