Les auteurs rapportent les échecs de la chimioprophylaxie et les échecs du traitement curatif. Ces phénomènes de chimiorésistances ont été étudiés chez 8 européens et chez 34 cambodgiens. Chez les européens atteints de P.v. le traitement radical par la primaquine aux doses habituelles a été un échec 3 fois sur 6. La constatation d'anomalies morphologiques chez ces souches primaquino-résistantes pose le problème d'une éventuelle relation entre cette résistance et ces anomalies.