Après un rapide préambule, les trois situations classiques d'équilibre mécanique sont présentées de manière à mettre en évidence :

— premièrement : dans le cas de la courbure décentrée, d'une part l'existence de moments de couples bilatéraux, en dehors des forces verticales en présence, d'autre part, les raisons qui ont conduit l'auteur à tenir compte dans le calcul final du seul moment proche de l'extrémité la plus courte, forces verticales mises à part ;

— deuxièmement : dans le cas de la courbure centrée, d'une part, l'existence de forces verticales bilatérales, en dehors des moments de couple, d'autre part, pourquoi les forces verticales en présence disparaissent lors de la mise en place bilatérale de l'arc, ne laissant subsister dans le calcul final que les moments de couple ;

— troisièmement : dans le cas de courbures en gradin, d'une part l'existence en dehors des moments de couple, de forces verticales, d'autre part, pourquoi ces forces verticales sont d'une intensité double par rapport aux deux relations précédentes, dans des conditions de calcul similaires.