Quand un embryotoxon postérieur permet d’affirmer la relation phénotype-génotype dans un syndrome d’Alagille.

Mairot, K; Gonzalves, M; Ho Wang Yin, G; Denis, D

doi:10.1016/j.jfo.2019.06.005

Quand un embryotoxon postérieur permet d’affirmer la relation phénotype-génotype dans un syndrome d’Alagille.

Auteurs : Mairot K¹, Gonzalves M¹, Ho Wang Yin G¹, Denis D¹

Affiliations : ¹Service d'ophtalmologie, hôpital de la Timone, 278, rue Saint-Pierre, 13005 Marseille, France.

Date 2019 Décembre 31, Vol 42, Num 10, pp e453-e454Revue : Journal français d'ophtalmologieType de publication : présentations de cas; lettre; DOI : 10.1016/j.jfo.2019.06.005

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Mairot K, Gonzalves M, Ho Wang Yin G, Denis D. Quand un embryotoxon postérieur permet d’affirmer la relation phénotype-génotype dans un syndrome d’Alagille. Journal français d'ophtalmologie. 2019 Déc 31;42(10):e453-e454.