Désinclusion canine et thérapeutique bioprogressive.
Auteurs : Bounoure GM, Frindel FDate 1978 Janvier 30, Vol 12, Num 1, pp 53-63Revue : Revue d'orthopédie dento-facialeType de publication : article de périodique; DOI : 10.1051/odf/1978004L'intérêt porté par les auteurs, qui se sont penchés sur la mise en place des canines incluses, témoigne de ce que régression de ces dents reste un problème mécanique et biologique complexe et délicat à résoudre : il n'est que de remarquer la facilité avec laquelle surviennent et persistent la récession gingivale péricervicale ou la sensation de tension douloureuse, dès qu'une force inadéquate en intensité et en direction leur est appliquée. Certains chercheurs tendent actuellement à penser que le clinicien devrait avoir recours à l'application de forces minima pour obtenir des effets optima, ces forces étant dépendantes de la surface de l'élément à déplacer. Dans cette optique, leur appréciation à l'aide d'une jauge devient imperative. Les principes d'action majeurs du ressort de désinclusion, développés dans ce travail, s'appuient sur cette notion.