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Myopathies médicamenteuses.

Auteurs : Guemara R1, Lazarou I1, Guerne IA1
Affiliations : 1Service de rhumatologie, HUG, 1211 Genève 14.
Date 2017 Mai, Vol 13, Num 562, pp 1013-1017Revue : Revue médicale suisseType de publication : article de périodique; revue de la littérature;
Résumé

Les myopathies médicamenteuses sont fréquentes et leur identification importante en raison de leur morbidité potentielle. En dehors des statines, les médicaments les plus souvent impliqués sont les glucocorticoïdes, les antimalariques, la colchicine et les antirétroviraux. Ces myopathies sont largement évitables, particulièrement celles qui surviennent lors de combinaisons de traitements ou en présence de comorbidités. Leur présentation relativement spécifique permet souvent d’approcher le diagnostic et de cibler l’éventuelle molécule à interrompre. D’une manière générale, elles sont spontanément et rapidement réversibles à l’arrêt du médicament, à l’exception de la myopathie autoimmune nécrosante aux statines ; cette dernière est cependant réversible sous immunosuppresseurs, quand ils sont initiés suffisamment tôt.

 Source : MEDLINE©/Pubmed© U.S National Library of Medicine
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Guemara R, Lazarou I, Guerne I. Myopathies médicamenteuses. Rev Med Suisse. 2017 Mai;13(562):1013-1017.
Courriel(Nous ne répondons pas aux questions de santé personnelles).
Dernière date de mise à jour : 16/05/2018.


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