Y a-t-il une justification à traiter les anévrismes de l’aorte abdominale à partir d’un diamètre transverse maximum de 50mm en France et de 55mm dans les pays anglo-saxons ?
Auteurs : Delay C1, Lejay A, Deglise S2, Mantz F1, Schwein A1, Gaertner S3, Georg Y1, Saucy F2, Thaveau F1, Corpataux J-M2, Chakfe N1Affiliations : 1Service de chirurgie vasculaire et transplantation rénale, hôpitaux universitaires de Strasbourg, 1, place de l’Hôpital, BP 426, 67091 Strasbourg cedex, France2Service de chirurgie vasculaire, CHU Vaudois, rue du Bugnon 21, 1011 Lausanne, Suisse3Service de maladies vasculaires, hypertension artérielle et pharmacologie clinique, hôpitaux universitaires de Strasbourg, 1, place de l’Hôpital, BP 426, 67091 Strasbourg cedex, France
Date 2016 Février 15, Vol 41, Num 1, pp 1-3Revue : Journal des maladies vasculairesType de publication : éditorial; DOI : 10.1016/j.jmv.2015.06.005Aucun résumé disponible
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Delay C, Lejay A, Deglise S, Mantz F, Schwein A, Gaertner S, Georg Y, Saucy F, Thaveau F, Corpataux J-M, Chakfe N. Y a-t-il une justification à traiter les anévrismes de l’aorte abdominale à partir d’un diamètre transverse maximum de 50mm en France et de 55mm dans les pays anglo-saxons ?. J Mal Vasc. 2016 Fév 15;41(1):1-3.