Quand le cancer de l'endomètre n'est pas un bon cancer.
Auteurs : Deligdisch L1Affiliations : 1Department of Pathology and Obstetrics-Gynecology and Reproductive Science, Mount Sinai Hospital, New York, NY 10029.
Date 1990 Octobre, Vol 85, Num 10, pp 513-6Revue : Revue française de gynécologie et d'obstétriqueType de publication : article de périodique; Résumé
Deux groupes de carcinome endométrial (CE) sont décrits: groupe 1 associé à une hyperplasie adénomateuse (HA) et groupe 2 sans HA. Les tumeurs du groupe 1 sont mieux différenciées, moins invasives et ne sont presque jamais métastatiques. Histologiquement, elles sont surtout glandulaires et bien différenciées. Des cellules écumeuses dans le stroma s'y trouvent souvent, soutenant l'association avec l'hyperestrogenisme. Les récepteurs de progestérone (RP) étaient présents dans tous les cas testés, et leurs taux étaient élevés. Les patientes étaient souvent obèses et nullipares, et avaient reçu des traitements estrogéniques.
Mot-clés auteurs
Anatomopathologie; Appareil génital femelle pathologie; Appareil génital femelle; Endomètre; Facteur risque; Homme; Hormonodépendance; Pronostic; Récepteur hormonal; Survie; Tumeur maligne; Tumeur; Utérus;