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Hormonorésistance des cancers du sein et inhibiteurs de mTOR

Auteurs : Heudel P, Tredan O1, Ray-Coquard I1, Treilleux I1, Guastalla J1, Bachelot T1
Affiliations : 1Centre Léon-Bérard, oncologie médicale, 28, rue Laennec, 69008 Lyon, France
Date 2011 Décembre 1, Vol 98, Num 12, pp 1431-1437Revue : Bulletin du cancerType de publication : article de périodique; DOI : 10.1684/bdc.2011.1496
Synthèse
Résumé

La dépendance hormonale du cancer du sein est connue depuis bien longtemps, mais cependant, environ la moitié des cancers du sein ayant des récepteurs aux œstrogènes ne vont pas répondre à la thérapeutique antihormonale. Nous savons désormais que cette résistance peut être liée à un dysfonctionnement de la voie des œstrogènes ou bien de celle des facteurs de croissance et plus particulièrement de la voie d'activation cellulaire PI3K/Akt/mTOR. La prévention de ces différents mécanismes de résistance pourrait passer par des associations thérapeutiques telles que celles d'anti-œstrogènes (SERM, anti-aromatase) avec des inhibiteurs de l'activité des facteurs de croissance, que sont particulièrement le temsirolimus et l'évérolimus pour la voie d'activation cellulaire de PI3K/Akt/mTOR.

Mot-clés auteurs
cancer du sein métastatique; hormonothérapie; inhibiteurs de mTOR;
 Source : Elsevier-Masson
 Source : PASCAL/FRANCIS INIST
 Source : MEDLINE©/Pubmed© U.S National Library of Medicine
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Citer cet article
Heudel P, Tredan O, Ray-Coquard I, Treilleux I, Guastalla J, Bachelot T. Hormonorésistance des cancers du sein et inhibiteurs de mTOR. Bull Cancer. 2011 Déc 1;98(12):1431-1437.
Courriel(Nous ne répondons pas aux questions de santé personnelles).
Dernière date de mise à jour : 21/06/2018.


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