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La lipolyse chimique sous-cutanée par la phosphatidylcholine : une expérience de cinq années

Auteurs : Môle B1
Affiliations : 115, avenue de Tourville, 75007 Paris, France
Date 2011 Avril, Vol 56, Num 2, pp 112-119Revue : Annales de chirurgie plastique et esthétiqueType de publication : article de périodique; DOI : 10.1016/j.anplas.2010.08.005
Article original
Résumé

Bien que la lipolyse chimique par la phosphatidylcholine soit une réalité, ce procédé d’élimination des amas graisseux localisés reste encore très limité en France. L’inconstance des résultats, la nécessité de répéter les traitements et un statut légal incertain expliquent sans doute que cette méthode très simple ne rencontre guère de succès. Nous l’expérimentons depuis cinq ans sur un nombre très limité de cas et pensons qu’elle peut être utilement envisagée pour la réduction des bajoues et du double menton, la cellulite superficielle et les séquelles de lipofilling ou de liposuccion. La réduction des poches palpébrales est également une bonne indication mais non recommandée par prudence. En revanche, elle n’entre jamais en compétition avec une liposuccion. Nous n’avons rencontré aucun incident durant ces cinq années, ce qui confirme l’impression générale recueillie auprès du Lipolysis Network qui rassemble plus de 1000 praticiens dans le monde entier.

Mot-clés auteurs
Lipolyse chimique; Phosphatidylcholine; Cellulite; Excédents graisseux résiduels;
 Source : Elsevier-Masson
 Source : MEDLINE©/Pubmed© U.S National Library of Medicine
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Citer cet article
Môle B. La lipolyse chimique sous-cutanée par la phosphatidylcholine : une expérience de cinq années. Ann Chir Plast Esthet. 2011 Avr;56(2):112-119.
Courriel(Nous ne répondons pas aux questions de santé personnelles).
Dernière date de mise à jour : 27/11/2015.


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