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Surf et fractures de Seymour

Auteurs : Zipoli B, Donon L1, Ribeyre D1
Affiliations : 1Service de chirurgie orthopédique et traumatologique, centre hospitalier de Dax, boulevard Yves-du-Manoir, 40100 Dax, France
Date 2010 Septembre, Vol 29, Num 4, pp 263-265Revue : Chirurgie de la mainType de publication : article de périodique; DOI : 10.1016/j.main.2010.06.010
Article original
Résumé

Les auteurs présentent quatre cas de fractures juxtaépiphysaires ouvertes type Seymour (1966)[1]survenues au décours de la pratique du surf. Les quatre patients étaient venus découvrir la pratique de ce sport. Ils s’agissaient d’accidents identiques provoquant le même type de fracture. La prise en charge fut systématiquement la même. La réduction par manœuvres externes utilisait une broche de 1,2 mm en va-et-vient. Celle-ci servait alors dejoystickpermettant la réduction puis la synthèse. Enfin, la fixation de l’ongle était réalisée.

Mot-clés auteurs
Fracture de Seymour; Fracture de la main; Traumatisme sportif; Surf; Ostéosynthèse;
 Source : Elsevier-Masson
 Source : PASCAL/FRANCIS INIST
 Source : MEDLINE©/Pubmed© U.S National Library of Medicine
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Citer cet article
Zipoli B, Donon L, Ribeyre D. Surf et fractures de Seymour. Chir Main. 2010 Sep;29(4):263-265.
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Dernière date de mise à jour : 23/08/2017.


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