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NLM_20705208

Auteurs : Chancholle A-R, Souquet R1, Moutet F2, Saboye J3
Affiliations : 11 bis, rue Jouxt-Aïgues, 31000 Toulouse, France2Service de chirurgie de la main et des brûlés, hôpital de Grenoble, BP 217, Grenoble cedex 09, France334, rue Demouilles, 31400 Toulouse, France
Date 2010 Août, Vol 55, Num 4, pp 272-286Revue : Annales de chirurgie plastique et esthétiqueType de publication : article de périodique; DOI : 10.1016/j.anplas.2009.11.007
Article original
Résumé

La modernité chirurgicale incline à penser que l’absence ou la perte d’une ou de deux mains annule toute capacité fonctionnelle ; l’homogreffe, dite allogreffe, est la plus actuelle des solutions thérapeutiques. Il n’en est rien, il y a une vie avec une agénésie ou après une amputation et bien d’autres solutions aussi efficaces et moins risquées : non traitée, la récupération spontanée de nouveaux fonctionnements est possible. D’autres traitements : une très ancienne opération, le procédé de Krukenberg, ou de nouvelles prothèses « bioniques ». Ce travail est un rappel d’évidences négligées ou oubliées.

Mot-clés auteurs
Agénésie de la main; Amputation de la main; Prothèses; Opération de Krukenberg; Allogreffe de main; Résultats fonctionnels;
 Source : Elsevier-Masson
 Source : MEDLINE©/Pubmed© U.S National Library of Medicine
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Chancholle A-R, Souquet R, Moutet F, Saboye J. NLM_20705208. Ann Chir Plast Esthet. 2010 Août;55(4):272-286.
Courriel(Nous ne répondons pas aux questions de santé personnelles).
Dernière date de mise à jour : 27/11/2015.


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