Un virus tapi dans l'ombre : les bases moléculaires de la latence du VIH-1 - Partie I : la physiologie de la latence du VIH-1.
Auteurs : Schwartz C1, Le Douce V, Cherrier T, Redel L, Marban C, Aunis D, Rohr OAffiliations : 1Inserm Unité 575 Physiopathologie du système nerveux central, Institut de virologie, Strasbourg, France.
Date 2010 Février 10, Vol 26, Num 2, pp 159-63Revue : Médecine sciencesType de publication : article de périodique; revue de la littérature; DOI : 10.1051/medsci/2010262159Résumé
L'introduction de la multithérapie active en 1996 s'est avérée très efficace et avait entretenu l'espoir d'éradiquer le virus du Sida. Malheureusement, des obstacles à son éradication sont rapidement apparus, notamment la mise en évidence du phénomène de latence virale dans les principales cellules cibles du virus, dont les lymphocytes T CD4+ et les cellules microgliales, constituant ainsi des réservoirs. Une compréhension fine des bases moléculaires de cette latence virale est ainsi nécessaire pour permettre d'agir plus efficacement d'un point de vue thérapeutique.
Mot-clés auteurs
Article synthèse; Homme; Interférence; Latence; Lymphocyte T CD4; Microglie; Mécanisme action; Transcription; Virus immunodéficience humaine;