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NLM_20129445

Auteurs : Hazzan M, Glowacki F1, Lionet A1, Provôt F1, Noël C1
Affiliations : 1Pôle de Néphrologie, CHRU de Lille, Hôpital Albert Calmette, Boulevard du Professeur Jules Leclercq, 59037 Lille Cedex, France
Date 2009 Décembre, Vol 5 Suppl 6, pp S355-8Revue : Néphrologie et ThérapeutiqueType de publication : article de périodique; DOI : 10.1016/S1769-7255(09)73425-X
Résumé

Depuis longtemps, les effets indésirables de la corticothérapie ont incité à une politique de minimisation ou de sevrage des corticoïdes en transplantation rénale. Cependant, jusque dans les années 1990, l’arrêt de la corticothérapie était associé à une augmentation de l’incidence du rejet aigu et certaines études indiquaient un risque significatif de perte de greffon. Avec l’arrivée de nouvelles molécules immunosuppressives (tacrolimus, mycophénolate, inhibiteurs de mTOR), la minimisation de la corticothérapie a été reconsidérée. Les études récentes ont montré que ces nouveaux immunosuppresseurs rendaient possible un sevrage « tardif » (3 mois après la greffe) de la corticothérapie sans accroître le risque de rejet aigu ou de perte de greffon à moyen terme. Certains essais ont pu mettre en évidence une amélioration des facteurs de risque cardiovasculaire et une diminution de l’incidence des infections et de l’ostéoporose. L’impact sur la survie du patient devra être confirmé par les études de suivi à long terme.

Mot-clés auteurs
Corticostéroïdes; Transplantation; Rein;
 Source : Elsevier-Masson
 Source : MEDLINE©/Pubmed© U.S National Library of Medicine
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Citer cet article
Hazzan M, Glowacki F, Lionet A, Provôt F, Noël C. NLM_20129445. Néphrologie et Thérapeutique. 2009 Déc;5 Suppl 6:S355-8.
Courriel(Nous ne répondons pas aux questions de santé personnelles).
Dernière date de mise à jour : 20/10/2016.


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