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Différentes explorations d'un incidentalome surrénalien en médecine nucléaire.

Auteurs : Tenenbaum F1
Affiliations : 1Service de Médecine Nucléaire, Hôpital Cochin, 27 rue du Fg Saint-Jacques, 75014 Paris, France.
Date 2009 Mars, Vol 90, Num 3 Pt 2, pp 444-8Revue : Journal de radiologieType de publication : présentations de cas; article de périodique; revue de la littérature;
Résumé

Devant un incidentalome surrénalien, les examens de médecine nucléaire ne sont indiqués qu'après les résultats des dosages hormonaux et de l'imagerie conventionnelle. Pour caractériser une lésion de type phéochromocytome, on réalise une scintigraphie à la MIBG, qui permet une cartographie des cellules chromaffines. Dans certains cas où la MIBG ne fixe pas la lésion, on peut utiliser une TEP au FDG ou à la DOPA. Pour caractériser une lésion de la corticosurrénale, on réalise une scintigraphie au iodocholestérol : dans le cas d'un adénome, le traceur fixe la lésion et dans le cas d'une lésion maligne, le traceur ne fixe pas la lésion. En plus de l'information sur la nature corticosurrénalienne de la masse, ce traceur très spécifique renseigne donc sur la bénignité ou la malignité de la masse. Actuellement, on peut réaliser une TEP au FDG qui renseigne sur le caractère bénin ou malin de la masse surrénalienne.

Mot-clés auteurs
Antiparkinsonien; Dopa; Formation permanente; Iodocholestérol (131I); Radiologie; Scintigraphie; Tomographie par émission de positons; Tumeur de la surrénale;
 Source : PASCAL/FRANCIS INIST
 Source : MEDLINE©/Pubmed© U.S National Library of Medicine
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Citer cet article
Tenenbaum F. Différentes explorations d'un incidentalome surrénalien en médecine nucléaire. Journal de radiologie. 2009 Mar;90(3 Pt 2):444-8.
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Dernière date de mise à jour : 21/08/2017.


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