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Spondylodiscite après promontofixation cœlioscopique : à propos d’un cas

Auteurs : Descargues G1, Bouzouita A1, Grise P1
Affiliations : 1Service d’urologie, CHU Charles-Nicolle, 1, rue de Germont, 76000 Rouen, France
Date 2009 Février, Vol 37, Num 2, pp 183-185Revue : Gynécologie, obstétrique & fertilitéType de publication : présentations de cas; article de périodique; DOI : 10.1016/j.gyobfe.2008.11.013
Cas clinique
Résumé

Un cas de spondylodiscite, apparu 18 mois après une promontofixation cœlioscopique réalisée par fil, est rapporté. Après une ponction discovertébrale, qui a isolé unPseudomonas, le traitement antibiotique adapté et l’immobilisation ont permis la guérison. La constatation d’une évolution favorable, à la fois clinique, biologique, et radiologique par IRM, a incité à ne pas démonter le matériel. Toutefois, cette option doit se discuter d’emblée en cas d’abcédation franche ou de fistule vaginale ou d’évolution défavorable sous traitement médical. La fixation au promontoire doit être au niveau du ligament prévertébral et ne pas intéresser le disque ; l’utilisation de fils doit être préférée aux agrafes.

Mot-clés auteurs
Prolapsus génital; Promontofixation; Complications; Spondylodiscite;
 Source : Elsevier-Masson
 Source : PASCAL/FRANCIS INIST
 Source : MEDLINE©/Pubmed© U.S National Library of Medicine
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Citer cet article
Descargues G, Bouzouita A, Grise P. Spondylodiscite après promontofixation cœlioscopique : à propos d’un cas. Gynecol Obstet Fertil. 2009 Fév;37(2):183-185.
Courriel(Nous ne répondons pas aux questions de santé personnelles).
Dernière date de mise à jour : 21/08/2017.


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