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ADN immortel ou signature épigénétique ?

Auteurs : Rocheteau P1, Tajbakhsh S
Affiliations : 1Cellules Souches et Développement, Département de Biologie du Développement, Institut Pasteur, CNRS URA 2578, 25, rue du Docteur Roux, 75724 Paris Cedex 15, France.
Date 2008 Octobre 17, Vol 24, Num 10, pp 847-52Revue : Médecine sciencesType de publication : article de périodique; subvention de recherche ne provenant pas du gouvernement américain; revue de la littérature; DOI : 10.1051/medsci/20082410847
Résumé

>Avant la mitose, l'ADN est répliqué et chaque cellule fille en hérite d'une copie. Cependant, lors de ce processus, des erreurs peuvent se produire, ce qui peut perturber le système et provoquer des cancers. Un mécanisme a été proposé pour éviter l'accumulation trop importante des mutations, il s'agit de la théorie de l'ADN immortel. Ce modèle propose que les brins matrices, ou anciens brins de l'ADN, co-segrègent tous dans une seule et même cellule lors de la division. Cependant, de nos jours, le rôle exact de ce phénomène n'est pas clair s'agit-il d'un mécanisme de protection contre les mutations ou de conservation des marques épigénétiques dans la cellule souche? Nous proposons ici de montrer quelles preuves expérimentales permettent de confirmer aujourd'hui l'existence de ce phénomène, quelles implications et quels mécanismes il pourrait mettre en jeu ainsi que le rôle qu'il pourrait tenir.

Mot-clés auteurs
DNA;
 Source : EDP Sciences
 Source : PASCAL/FRANCIS INIST
 Source : MEDLINE©/Pubmed© U.S National Library of Medicine
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Rocheteau P, Tajbakhsh S. ADN immortel ou signature épigénétique ?. Médecine sciences. 2008 Oct 17;24(10):847-52.
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Dernière date de mise à jour : 22/11/2017.


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