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Ostéopathies médicamenteuses (hors cortisone)

Auteurs : Briot KDate 2006 Octobre, Vol 35, Num 10 Pt 2, Part 2, pp 1579-1583Revue : La Presse médicaleType de publication : étude comparative; article de périodique; revue de la littérature; DOI : 10.1016/S0755-4982(06)74854-0
Mise au point
Résumé

Points essentielsLors du bilan d’une ostéopathie fragilisanteréalisé en cas de densité minérale osseuse basse et/ou de fracture ostéoporotique, la recherche de facteurs de risque de fragilisation, comme la prise de certains médicaments, est nécessaire.La corticothérapie prolongée par voie générale(passée ou actuelle) reste la cause la plus fréquente d’ostéoporose secondaire.D’autres traitements peuvent être mis en causeinhibiteurs de l’aromatase, agonistes de la GnRH, antiépileptiques, héparinothérapie prolongée et hormones thyroïdiennes à doses suppressives.Les données sont à confirmerpour les neuroleptiques et les anticoagulants oraux.

Mot-clés auteurs
Antiinflammatoire; Cause; Fracture; Homme; Médecine; Médicament; Métabolisme pathologie; Ostéopathie; Ostéoporose; Ostéopénie; Système ostéoarticulaire pathologie; Toxicité;
 Source : Elsevier-Masson
 Source : PASCAL/FRANCIS INIST
 Source : MEDLINE©/Pubmed© U.S National Library of Medicine
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Briot K. Ostéopathies médicamenteuses (hors cortisone). La Presse médicale. 2006 Oct;35(10 Pt 2):1579-1583.
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Dernière date de mise à jour : 21/08/2017.


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