Nouvelles données sur une seconde forme moléculaire endogène de la LHRH hypothalamique de mammifère, la (hydroxyproline9) LHRH.
Auteurs : Gautron JP1, Leblanc P, Bluet-Pajot MT, Pattou E, L'Héritier A, Mounier F, Kordon CAffiliations : 1Unité de Dynamique des Systèmes neuroendocriniens, U.159 de l'I.N.S.E.R.M., Paris.
Date 1992, Vol 314, Num 8, pp 355-9Revue : Comptes rendus de l'Académie des sciences. Série III, Sciences de la vieType de publication : article de périodique; Résumé
Une forme endogène hydroxylée de la LHRH, la (Hyp) LHRH, est capable de déplacer la LHRH liée à des membranes hypophysaires. En parallèle elle stimule indistinctement la sécrétion de LH et de FSH à partir de cellules hypophysaires en culture primaire. Son efficacité est 20 à 5 fois plus faible que celle de la LHRH lorsque la dégradation peptidique est inhibée ou non.
Mot-clés auteurs
Adénohypophyse; Analogue; Capacité fixation; Culture cellulaire; Facteur libération hormonale; Gonadotrophine RH; Gonadotrophine; Hormone adénohypophysaire; Hormone hypothalamique; Rat;
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Gautron J P, Leblanc P, Bluet-Pajot M T, Pattou E, L'Héritier A, Mounier F, Kordon C. Nouvelles données sur une seconde forme moléculaire endogène de la LHRH hypothalamique de mammifère, la (hydroxyproline9) LHRH. C. R. Acad. Sci. III, Sci. Vie. 1992;314(8):355-9.