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Soumission chimique.

Auteurs : de Boisjolly JM1, Rougé-Maillart C, Roy PM, Roussel B, Turcant A, Delhumeau A
Affiliations : 1Service des urgences, CHU d'Angers.
Date 2003 Août 9, Vol 32, Num 26, pp 1216-8Revue : La Presse médicaleType de publication : présentations de cas; article de périodique;
Résumé

Introduction Le syndrome de soumission chimique est bien connu de la population générale mais trop souvent méconnu par les médecins. Observation II s'agit d'une intoxication d'une femme de 23 ans par une tierce personne pour abus sexuel. Le diagnostic a été prouvé biologiquement et après enquête judiciaire. Commentaires Le diagnostic de soumission chimique est difficile à faire en raison du retard fréquent des consultations aux urgences et des difficultés des dosages biologiques, les doses de drogues données étant souvent très faibles et infra-thérapeutiques. Sur une période d'un an, nous avons évoqué 4 fois le diagnostic et il n'a été confirmé qu'une seule fois. De tels cas entraînent parfois des errances diagnostiques. Une coopération étroite entre les médecins et la police est nécessaire pour qu'une enquête judiciaire soit menée rapidement.

Mot-clés auteurs
Benzodiazépine dérivé; Bromazépam; Brome Composé organique; Etude cas; Expertise médicolégale; Homme; Intoxication médicamenteuse; Médecine légale; Soumission;
 Source : PASCAL/FRANCIS INIST
 Source : MEDLINE©/Pubmed© U.S National Library of Medicine
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Citer cet article
de Boisjolly J-M, Rougé-Maillart C, Roy P-M, Roussel B, Turcant A, Delhumeau A. Soumission chimique. La Presse médicale. 2003 Août 9;32(26):1216-8.
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Dernière date de mise à jour : 21/08/2017.


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