Se connecter
Rechercher

Hydroxyurée et infection par le VIH.

Auteurs : Nkoghe D1, Kola L, Léonard P, Demonty J, Moutschen M
Affiliations : 1Service de Médecine interne, Université de Liège.
Date 2000 Juillet, Vol 55, Num 7, pp 721-4Revue : Revue médicale de LiègeType de publication : article de périodique; revue de la littérature;
Résumé

L'hydroxyurée est une substance anticancéreuse utilisée depuis peu dans le traitement de l'infection par le VIH-1 grâce à son action inhibitrice de la réplication virale, à la potentialisation de l'activité des dérivés nucléosidiques (surtout le ddI ou didanosine, Videx®) et à ses propriétés cytostatiques sur les lymphocytes CD4 et CD8. De nombrenses études ont montré son efficacité, comme drogue adjuvante d'une trithérapie (comprenant le ddI) classique, dans les schémas initiaux et dans les traitements de sauvetage. La dose de 500 mg bid semble bien tolérée chez l'adulte, et celle de 20 mg/kg chez l'enfant, La tolérance à long terme reste inconnue. En association avec le ddI, elle pourrait être proposée dans les pays en voie de développement.

Mot-clés auteurs
Chimiothérapie; Homme; Hydroxycarbamide; Indication; Pharmacocinétique; SIDA; Traitement; Virus immunodéficience humaine;
 Source : PASCAL/FRANCIS INIST
 Source : MEDLINE©/Pubmed© U.S National Library of Medicine
Chercher l'article
Accès à distance aux ressources électroniques :
Sur Google Scholar :  Sur le site web de la revue : En bibliothèques :
Exporter
Citer cet article
Nkoghe D, Kola L, Léonard P, Demonty J, Moutschen M. Hydroxyurée et infection par le VIH. Revue médicale de Liège. 2000 Jui;55(7):721-4.
Courriel(Nous ne répondons pas aux questions de santé personnelles).
Dernière date de mise à jour : 21/08/2017.


[Haut de page]

© CHU de Rouen. Toute utilisation partielle ou totale de ce document doit mentionner la source.