Le contrôle de qualité interne est indispensable à la validation analytique. Le GBEA insiste sur son organisation matérielle mais reste curieusement muet sur les critères d'interprétation. Les pratiques de la profession n'ont fait l'objet d'aucun consensus. Le biologiste doit donc s'en remettre à son libre-arbitre. Une enquête dans l'Ontario [1] a récemment mis en évidence la diversité des méthodes de contrôle selon les laboratoires. Des directives pour les unifier seraient opportunes. Elles ne pourront naître que de la réunion de compétences analytiques, statistiques et informatiques. C'est pour apporter un élément au futur édifice et devant les insuffisances des logiciels commerciaux que j'ai écrit ce nouveau programme.