Description : D’après une étude de l’Office of National Statistic de Grande-Bretagne, c’est aux
alentours de 65 ans que l’on connaît aujourd’hui le plus haut « niveau de bonheur
» de sa vie. Il a été demandé aux 300 000 personnes sondées, âgées de 16 à 90 ans,
de noter sur 10 (10 étant la note la plus haute) le « niveau de bonheur » qu’ils ressentaient.
Résultat surprenant : la note moyenne du niveau de bonheur des 65-69 ans est la plus
élevée du graphique. Ce, à condition d’être en bonne santé. L’allongement de la durée
de la vie et la baisse de la fécondité sont des tendances démographiques lourdes constatées
dans l’ensemble des pays développés. Tout l’enjeu de la longévité est d’accroître
la durée de la vie en bonne santé, aujourd’hui en moyenne de dix ans en France, contre
vingt dans les pays scandinaves. La maladie d’Alzheimer constitue une des principales
affections qui dégrade la santé en fin de vie. Chiffres et témoignages à l’appui,
ce document fait le point sur cette pathologie, la dynamique régionale en matière
de recherche sur le sujet et les enjeux de santé publique qui en découlent.;