Libellé préféré : personne âgée en bonne santé;
Synonyme SNOMED : personne âgée bien-portante;
Identifiant d'origine : F-06860;
CUI UMLS : C0686753;
Alignements automatiques CISMeF supervisés
Alignements automatiques exacts (par équipe CISMeF)
Correspondance SNOMED CT
Correspondances UMLS (même concept)
Type(s) sémantique(s)
- Fait [Type sémantique UMLS]
N3-AUTOINDEXEE
Étude ASPREE : Est-ce que l’aspirine en prévention primaire peut maintenir la survie
sans invalidité chez la personne âgée en bonne santé ?
https://pharmactuel.com/index.php/pharmactuel/article/view/1289
2020
Pharmactuel - la revue internationale francophone de la pratique pharmaceutique en
établissement de santé
Canada
article de périodique
prévention primaire
ASPIRINE
maintenance
survie
sujet âgé de 80 ans ou plus
principal
Invalidité
personnes handicapées
sujet âgé
invalidité
acide acétylsalicylique
personne âgée en bonne santé
acide acétylsalicylique
santé
PERSONNE AGEE
collecte de données
sujet âgé de 80 ans ou plus
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N3-AUTOINDEXEE
Implication des personnes âgées en bonne santé face à une potentielle perte d'autonomie
et approche avec leur médecin traitant
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03102224
Introduction : le devenir des personnes âgées est un sujet majeur d’actualité, l’importance
d’une refonte du système d’aides et de services en adéquation avec les besoins et
les volontés de la population est connue, et cette refonte est en cours. Il n’empêche
que l’opinion des personnes âgées est encore demandée trop souvent tardivement lorsque
la perte d’autonomie est déjà avancée et que les prises en charge peuvent alors se
faire dans la précipitation. Le médecin traitant apparaît le plus souvent comme le
premier intervenant face au sujet de la perte d’autonomie, surtout lorsqu’il a assuré
le suivi de son patient sur de longues années. La présente étude s’interroge donc
sur l’implication des personnes âgées en bonne santé par rapport à une potentielle
perte d’autonomie future ; elle se concentre en particulier sur leurs représentations
et leurs ressentis face à cette situation. Elle s’intéresse ensuite à l’approche de
ce sujet avec leur médecin traitant et cherche à connaître les attentes des patients
vis-à-vis de ce professionnel. Méthode : il s’agit d’une étude qualitative, ayant
permis de réaliser 15 entretiens semi-dirigés, individuels, de patients âgés en bonne
santé, à partir de l’âge de 65 ans ; les critères d’inclusion étaient l’absence d’aide
à domicile et l’autonomie dans le quotidien. Le recueil et les entretiens se sont
faits dans trois cabinets de médecins traitants. Chaque patient a été interrogé dans
la salle de consultation habituelle de son médecin. Résultats : les comportements
des personnes âgées dites en bonne santé sont variés autour de leur implication sur
une perte d’autonomie future : anticipation extrême, tabou du sujet mais plan d’avenir
tracé, déni et refus du sujet avec souhait d’attendre le dernier moment pour agir…
Des ressentis sont aussi mentionnés autour de leurs expériences de la perte d’autonomie,
de la prévention du vieillissement, de la notion d’être utile jusqu’à la fin de sa
vie, et du rôle joué par le conjoint et la famille dans la perte d’autonomie. D’autre
part, il est mis en évidence que le sujet n’est que rarement abordé avec le médecin
traitant, en amont de la perte d’autonomie. Les attentes sont nombreuses envers le
médecin traitant mais concernent souvent une perte d’autonomie déjà effective et ne
se rattachent qu’au rôle « de soin » du médecin traitant. Discussion : une différence
notable entre santé ressentie par le patient âgé et santé réellement constatée par
le médecin est mise en avant. Deux catégories principales de personnes apparaissent,
découlant de facteurs variés comme le tempérament, le sexe, la santé et l’autonomie
réelles, le rejet ou non d’une dépendance. Enfin plusieurs hypothèses sont avancées
sur un lien possible entre un âge moins avancé et une implication plus importante
dans l’anticipation d’une future perte d’autonomie. La recherche, par les médecins
traitants, de signes de fragilité mais surtout la prévention de la perte d’autonomie
sont majeures et semblent non suffisantes actuellement. Les raisons de la difficulté
à aborder le sujet en médecine générale sont nombreuses. Il s’agit toujours d’un sujet
tabou, méconnu. Le rôle du médecin traitant semble être d’éveiller une réflexion chez
le patient sur son devenir, pour que ce sujet revienne plus facilement dans les consultations
futures et que le médecin puisse y apporter une aide adaptée. Une recherche sur les
moyens d’allier prévention de la perte d’autonomie et médecine générale pourrait ouvrir
de nouvelles perspectives d’avenir.
2020
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Médecins
autonomie personnelle
santé
Face
PERSONNE AGEE
médecins généralistes
sujet âgé de 80 ans ou plus
Médecine
vie autonome
Médecins
sujet âgé
personne âgée en bonne santé
dû à
face
sujet âgé de 80 ans ou plus
médecine
médecins
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N1-SUPERVISEE
Efficacité d’un vaccin conjugué contre les pneumocoques à 13 valents chez les personnes
âgées de 65 ans et plus en bonne santé ?
https://minerva-ebp.be/fr/analyses-en-ligne/304
Cette très vaste RCT menée auprès de seniors relativement jeunes et en bonne santé
montre une efficacité du vaccin conjugué contre les pneumocoques à 13 valents en prévention
des pneumonies dues aux sérotypes présents dans le vaccin, mais avec un NNT très élevé.
Toutefois, elle ne montre pas d’efficacité significative pour l’ensemble des pneumonies
ni pour la mortalité par pneumonie.
2015
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Minerva - Revue d'Evidence-Based Medicine
Belgique
français
résumé ou synthèse en français
information scientifique et technique
vaccin pneumococcique 13-valent
efficacité du vaccin
vaccins antipneumococciques
personne âgée en bonne santé
vaccins conjugués
âgé de plus de 65 ans
sujet âgé
vaccins antipneumococciques
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