Libellé préféré : inhibiteurs de la pompe à protons;

Acronyme CISMeF : IPP; PPI;

Traductions automatiques des définitions par l'ANS : Un inhibiteur de la pompe à protons est administré par voie orale dans la forme neutrale, inactive et, à l'entrée dans l'environnement acide de la cellule pariétale, un inhibiteur de la pompe à protons est protoné et converti sous forme active. La forme active sera liée de manière covalente et irréversible à la pompe à protons, la H / K -ATPase, située à la surface des cellules pariétales. Ceci conduit à une inhibition du transport des ions hydrogène, en échange des ions potassium, dans la lumière gastrique et entraîne une inhibition de la sécrétion acide gastrique.;

Code ChEBI : CHEBI:49200;

Détails


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Vous pouvez consulter :


N3-AUTOINDEXEE
Utilisation et sécurité des inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) : Études à partir du système national des données de santé (SNDS)
https://www.theses.fr/2022UPASR018
Les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) sont des médicaments indiqués dans le traitement des pathologies liées à l’acidité gastrique, telles que le reflux gastro-œsophagien (RGO), et les ulcères gastroduodénaux. Ces médicaments sont très efficaces, et perçus comme globalement bien tolérés à court terme. Ils se sont donc rapidement imposés comme le traitement de référence de ces pathologies, et leur usage s’est largement banalisé. Cette thèse a été réalisée partir du système national des données de santé (SNDS), dans un contexte de surutilisation des IPP, et de résurgence, dans la littérature, au cours de la dernière décennie, de signaux relatifs à la survenue potentielle d’effets indésirables graves. Dans une étude descriptive, nous avons montré que 15,4 millions d’adultes avaient reçu une délivrance d’IPP en 2015, soit presque 30% de la population française. Le traitement était fréquemment initié en dehors des recommandations, majoritairement en prévention des lésions gastroduodénales dues aux AINS, en l’absence de facteur de risque identifiable justifiant la prophylaxie par IPP. Dans une étude cas-témoin, nous avons observé une augmentation modeste du risque de cancer pancréatique associé à l’utilisation d’IPP à long terme. Enfin, dans une étude de cohorte chez l’enfant, nous avons retrouvé une augmentation du risque d’infections graves associé à l’utilisation d’IPP. Compte tenu de l’utilisation massive et du mésusage des IPP, les relations observées, même de faible magnitude, peuvent avoir un impact important en termes de santé publique.
2022
theses.fr
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inhibiteurs de la pompe à protons
jeu de données
Systèmes de données
inhibiteurs de la pompe à protons
sûreté
prestations des soins de santé
donnée
pompe
étude de sécurité
inhibiteurs de la pompe à protons
utilisation
pas d'information disponible
système d'un composant de dispositif
systèmes de délivrance de médicaments
Santé
sécurité
proton

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N3-AUTOINDEXEE
Évaluation des freins à la déprescription des inhibiteurs de la pompe à protons en médecine générale
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03769071
Introduction : les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) sont l’une des classes thérapeutiques les plus prescrites en ville et à l’hôpital dans la prise en charge des pathologies gastroduodénales. En ville les médecins généralistes prescrivent environ 90% des IPP, soit un coût de remboursement de 420 millions d’euros par an. Selon la haute autorité de santé (HAS), 60% des prescriptions sont injustifiées. Pris au long court ils peuvent être à l’origine d’effets indésirables (EI) potentiellement graves et souvent méconnus. Favoriser la déprescription des IPP semble être un enjeu de santé publique en cas de prescription hors recommandation. L’objectif de cette étude est d’identifier les freins à la déprescription des IPP auprès des médecins généralistes. br Méthodes : il s’agit d’une étude quantitative par questionnaire distribué selon deux modes de recueil. Par voie électronique aux médecins généralistes de Guadeloupe et Martinique grâce à l’union des médecins libéraux et par format papier lors du congrès des médecins généralistes enseignants à Lille. br Résultats : cent douze médecins ont été inclus dans notre étude, 45 au format papier et 67 au format électronique. La réticence exprimée par le patient (86,6%), la méconnaissance de l’indication initiale (77,7%), la discordance entre les recommandations et la complexité clinique (74,1%), le manque de communication avec le spécialiste (70,5%), le rebond de la symptomatologie (67%), le manque de temps durant la consultation (58%) et le manque d’outils d’aide à la déprescription (51,8%) sont les principaux freins à la déprescription. Un score de connaissance des MG sur le coût de l’esoméprazole, les EI liés au IPP et la proportion de prescriptions hors recommandations a été calculé à 6,1/11. br Conclusion : cette étude a mis en évidence les principaux freins à la déprescription ainsi qu’un niveau de connaissances insuffisant des effets secondaires par les médecins généralistes. Pour favoriser la déprescription, il faudrait sensibiliser les médecins et les patients sur l’existence d’effets secondaires lors de la prise au long cours d’IPP. Ainsi qu’encourager la création et la diffusion d’outils d’aide à la déprescription permettant un accompagnement des médecins et surtout de leurs patients.
2022
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
examen physique
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inhibiteurs de la pompe à protons
médecine générale
frein
inhibiteurs de la pompe à protons
Évaluation
Déprescription
études d'évaluation comme sujet
proton
pompe
Frein
évaluation
Déprescriptions
biomédecine
frein
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inhibiteurs de la pompe à protons

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26/04/2024


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