Code CIM-11 : 2C70;
Libellé préféré : tumeurs malignes de la vulve;
Définition CIM-11 : Le carcinome épidermoïde de la vulve se manifeste principalement chez les personnes
âgées. Alors que le taux d'incidence de la néoplasie intra-épithéliale vulvaire est
en augmentation, celui du carcinome épidermique de la vulve est en baisse, ce qui
témoigne d'une détection plus précoce et d'un traitement plus efficace. Outre l'infection
par le papillomavirus humain, le tabagisme constitue un facteur de risque présumé
de développement du carcinome spinocellulaire vulvaire. Il existe trois lésions précurseurs
connues : la néoplasie intraépithéliale vulvaire, le lichen scléreux et la maladie
granulomateuse chronique. Les autres tumeurs malignes épithéliales importantes de
la vulve sont la maladie de Paget et le carcinome de la glande de Bartholin. Elles
sont beaucoup moins répandues que les lésions que les lésions squameuses, et les facteurs
de risque sont en grande partie inconnus. Les tumeurs non épithéliales les plus fréquentes
sont le mélanome malin et le sarcome botryoïde.;
Synonyme CIM-11 : carcinome vulvaire; cancer de la vulve; tumeur maligne de la vulve; cancer vulvaire;
Code CIM-11 catégorie "autre" : 2C70.Y;
Code CIM-11 catégorie "sans précision" : 2C70.Z;
Identifiant d'origine : 1530443809;
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- Voir aussi inter- (CISMeF)
Le carcinome épidermoïde de la vulve se manifeste principalement chez les personnes
âgées. Alors que le taux d'incidence de la néoplasie intra-épithéliale vulvaire est
en augmentation, celui du carcinome épidermique de la vulve est en baisse, ce qui
témoigne d'une détection plus précoce et d'un traitement plus efficace. Outre l'infection
par le papillomavirus humain, le tabagisme constitue un facteur de risque présumé
de développement du carcinome spinocellulaire vulvaire. Il existe trois lésions précurseurs
connues : la néoplasie intraépithéliale vulvaire, le lichen scléreux et la maladie
granulomateuse chronique. Les autres tumeurs malignes épithéliales importantes de
la vulve sont la maladie de Paget et le carcinome de la glande de Bartholin. Elles
sont beaucoup moins répandues que les lésions que les lésions squameuses, et les facteurs
de risque sont en grande partie inconnus. Les tumeurs non épithéliales les plus fréquentes
sont le mélanome malin et le sarcome botryoïde.
